Mochi, 餅
Allez, aujourd'hui une petite recette avant les fêtes de fin d'année. Le guide Michelin a sortie le mois dernier une édition spéciale Tôkyô, alors on va en profiter pour s'attarder un peu sur les méthodes des grands chefs locaux. Une ville qui réussi a obtenir plus de macarons que Paris doit forcement avoir un secret. Hasard du calendrier, l'université avait prévue ce midi de nous faire passer derrière les fourneaux.
Commençons par quelque chose de simple, les pâtisseries à base de pâte de riz (Mochi).
La recette est assez simple, il faut juste du riz, et des sumo.
Un problème avec ma recette ?
Les sumos ? Quoi, les sumo ? Non, non, ils ne sont pas là pour gouter. Les étoiles au guide Michelin, il faut savoir les gagner . Pour convaincre un expert du guide michelin, un bon sumo au sommet de son art est toujours très convaincant.
Donc, prenez du riz bouillant que vous disposez dans un Usu, mortier traditionnel.
A l'aide de vos sumo (si ils sont fatigués, n'importe quel étudiant fera l'affaire), malaxez le riz et frappez-le pour obtenir une pâte suffisamment visqueuse (mais pas trop, il y a des morts par étouffement tous les ans au Japon à cause de ça. Une expert du Michelin est toujours plus productif vivant, répétez-le au besoin à vos sumo).
La pâte prête, faite la passer à votre prof de kanji par exemple pour la suite de la préparation (les lutteurs peuvent une nouvelle fois faire l'affaire, mais leurs doigts peu agiles sont assez peu adaptés pour la suite, préférez ceux d'une prof de kanji).
A l'aide de la pâte (j'ai fais voix-off de la Cuisine des Mousquetaire dans une vie antérieure), faite des boules grosse comme le poing, puis passez-les dans de l'Anko (pâte de haricot rouge sucrée).
Voila, c'est finis.
Votre prof de kanji peut se charger du service si les inspecteurs du Michelin se montrent retord.
Commençons par quelque chose de simple, les pâtisseries à base de pâte de riz (Mochi).
La recette est assez simple, il faut juste du riz, et des sumo.
Un problème avec ma recette ?
Les sumos ? Quoi, les sumo ? Non, non, ils ne sont pas là pour gouter. Les étoiles au guide Michelin, il faut savoir les gagner . Pour convaincre un expert du guide michelin, un bon sumo au sommet de son art est toujours très convaincant.
Donc, prenez du riz bouillant que vous disposez dans un Usu, mortier traditionnel.
A l'aide de vos sumo (si ils sont fatigués, n'importe quel étudiant fera l'affaire), malaxez le riz et frappez-le pour obtenir une pâte suffisamment visqueuse (mais pas trop, il y a des morts par étouffement tous les ans au Japon à cause de ça. Une expert du Michelin est toujours plus productif vivant, répétez-le au besoin à vos sumo).
La pâte prête, faite la passer à votre prof de kanji par exemple pour la suite de la préparation (les lutteurs peuvent une nouvelle fois faire l'affaire, mais leurs doigts peu agiles sont assez peu adaptés pour la suite, préférez ceux d'une prof de kanji).
A l'aide de la pâte (j'ai fais voix-off de la Cuisine des Mousquetaire dans une vie antérieure), faite des boules grosse comme le poing, puis passez-les dans de l'Anko (pâte de haricot rouge sucrée).
Voila, c'est finis.
Votre prof de kanji peut se charger du service si les inspecteurs du Michelin se montrent retord.