Katsûra Big Hina matsuri, 勝浦ビッグひな祭り
Direction hier la préfecture de Chiba, à l'est de Tôkyô, et plus précisément le sud de la péninsule de Bôsô, la bande de terre qui protège l'est de la baie de Tôkyô. Comptez 3 bonnes heures de train depuis mon dortoir pour s'y rendre, soit pas loin de 7 heures aller retour dans la journée. Troquer pour quelques heures les tours de la mégalopole pour des champs à perte de vues demande quelques sacrifices.
Depuis quelques année, un village de pêcheurs, Katsûra, a rencontré une certaine renommé en exposant tous les ans à la même époque, à savoir les 10 jours qui précèdent Hina matsuri, des milliers de poupées un peu partout en ville. Pour cette année, le chiffre de 20 000 a été avancé, chiffre qui a d'ailleurs tendance prendre de l'ampleur d'année en année puisque des familles de la région offrent régulièrement à la municipalité leurs poupées de façon à ce qu'elles soient exposées.
Concrètement, les 2 temples de la ville, mais aussi la quasi totalité des boutiques du bourg sont mis à contribution. Dans chaque vitrines rencontrées depuis la gare, une poignée de ces poupées au minimum était visibles. En discutant avec un des exposants (70 au bas mot, vu les détails de sa jeunesse auxquels on a eu le droit), on a rapidement eu une estimation de l'âge de certaines d'entre elles, à savoir un bon gros siècle au moins. Présentées sur des hi-môsen rouge bien en évidence face aux entrées, ou juste disposées plus discrètement dans un coin de vitrine, il était impossible de passer à coté. A certains coins de rues, des présentoirs avaient même été monté spécialement pour l'occasion.
Comme plusieurs fois lors de déplacement hors de la capitale, les gens viennent assez facilement vers vous pour discuter, en japonais comme en anglais, chose assez rare à Tôkyô dès que l'on s'écarte des lieux touristiques. Une des personnes qui tenait la boutique du temple est bien restée spontanément 10 minutes pour nous montrer quelques photos de la cérémonie d'ouverture de ce matsuri, le dimanche précédent.
Depuis quelques année, un village de pêcheurs, Katsûra, a rencontré une certaine renommé en exposant tous les ans à la même époque, à savoir les 10 jours qui précèdent Hina matsuri, des milliers de poupées un peu partout en ville. Pour cette année, le chiffre de 20 000 a été avancé, chiffre qui a d'ailleurs tendance prendre de l'ampleur d'année en année puisque des familles de la région offrent régulièrement à la municipalité leurs poupées de façon à ce qu'elles soient exposées.
Concrètement, les 2 temples de la ville, mais aussi la quasi totalité des boutiques du bourg sont mis à contribution. Dans chaque vitrines rencontrées depuis la gare, une poignée de ces poupées au minimum était visibles. En discutant avec un des exposants (70 au bas mot, vu les détails de sa jeunesse auxquels on a eu le droit), on a rapidement eu une estimation de l'âge de certaines d'entre elles, à savoir un bon gros siècle au moins. Présentées sur des hi-môsen rouge bien en évidence face aux entrées, ou juste disposées plus discrètement dans un coin de vitrine, il était impossible de passer à coté. A certains coins de rues, des présentoirs avaient même été monté spécialement pour l'occasion.
Comme plusieurs fois lors de déplacement hors de la capitale, les gens viennent assez facilement vers vous pour discuter, en japonais comme en anglais, chose assez rare à Tôkyô dès que l'on s'écarte des lieux touristiques. Une des personnes qui tenait la boutique du temple est bien restée spontanément 10 minutes pour nous montrer quelques photos de la cérémonie d'ouverture de ce matsuri, le dimanche précédent.
J'en connais 2 ou 3 qui rêvait d'avoir ça au dessus de leurs lits en étant petites. Pas la peine de dire non, j'ai les noms.
Ou est Charly, version locale.
Casting en vue pour le prochain Toys Story.
Attention, piège.
Ou est Charly, version locale.
Casting en vue pour le prochain Toys Story.
Attention, piège.