Back in black
Ceux qui ont déjà mis les pieds sur l'archipel savent à quel point il est facile de prendre une canette de café dans l'un des très nombreux distributeur prévu à cet effet. Pas de nourriture dans ceux-ci, mais un très grand choix de cafés, chauds ou froids. Paradoxalement, on pourrait même faire remarquer que malgré cette présence massive de caféine dans les rues japonaises, on verra rarement autant de personnes dormir un peu partout. J'insiste bien sur ce point, cela ne concerne pas que le métro. On peut même voir dans la salle informatique de notre bâtiment de cours une affiche qui invite les étudiants à ne pas rester dormir dans celle-ci. Métro , salle de cours, bibliothèque, tout est bon pour grappiller quelques minutes de sommeil.
Le but de cette introduction n'est pas de vous initier à l'art du camping urbain en milieu tôkyôïte, mais plutôt de vous parler du dur métier de star (et je ne parle pas de moi , le lancement de la mode des kilts a subit quelques revers). Une fois le sommet de la vague de la célébrité passée, la reconversion peut parfois être difficile (Il semble qu'un président ne reste que peu de temps sur le marché des célibataires, alors ne comptez pas trop sur la piste du mariage pour votre nouvelle vie). Certains sont vite amenés à changer de style, si ce n'est de registre. La déchéance est au coin de la rue si l'ont n'y prend pas garde, et ce n'est pas Tom Cruise qui irait me contredire, condamné à donner des cours sur le recyclage des déchets.
Un autre proche du milieu des extraterrestre a dernièrement fait les frais de ces incessants changements de carrière qui émaillent la vie de star. Je ne parle pas des aliens accros au café qui jouaient dans Men in Black (ils auraient montés un boyz band en Somali), mais de Tommy Lee Jones, à qui je vais maintenant laisser la parole:
Le but de cette introduction n'est pas de vous initier à l'art du camping urbain en milieu tôkyôïte, mais plutôt de vous parler du dur métier de star (et je ne parle pas de moi , le lancement de la mode des kilts a subit quelques revers). Une fois le sommet de la vague de la célébrité passée, la reconversion peut parfois être difficile (Il semble qu'un président ne reste que peu de temps sur le marché des célibataires, alors ne comptez pas trop sur la piste du mariage pour votre nouvelle vie). Certains sont vite amenés à changer de style, si ce n'est de registre. La déchéance est au coin de la rue si l'ont n'y prend pas garde, et ce n'est pas Tom Cruise qui irait me contredire, condamné à donner des cours sur le recyclage des déchets.
Un autre proche du milieu des extraterrestre a dernièrement fait les frais de ces incessants changements de carrière qui émaillent la vie de star. Je ne parle pas des aliens accros au café qui jouaient dans Men in Black (ils auraient montés un boyz band en Somali), mais de Tommy Lee Jones, à qui je vais maintenant laisser la parole: